Pour cette année 2014-2015, voici les dates de nos rencontres, toujours le vendredi après-midi sur le site Bellecour de l’Université Catholique de Lyon.
- Vendredi 28 novembre 2014 : nous pourrons revenir sur le congrès 2014, avec des résumés des interventions données par les membres de notre groupe régional ; nous aurons la très grande joie d’accueillir Olivier Artus (ICP), membre de la commission biblique pontificale, qui viendra nous présenter le tout nouveau document de la commission, L’inspiration et la vérité de la Bible.
- Vendredi 6 février 2015 : le congrès 2016 aura lieu à Angers, sur une thématique paulinienne, sous la direction de Christophe Raimbault (ICP), qui vient de faire sortir une belle étude de Rm 12-13, L'Avènement de l'amour. Epître aux Romains, Chapitres 12 et 13 (LD ; Paris, Cerf 2014, 624 p.). Comme Christophe Raimbault ne pouvait pas venir le 27 février, date initialement prévue, nous avons déplacé la date de notre rencontre au 6 février, pour pouvoir l’accueillir parmi nous.
- Vendredi 22 mai 2015 : programme encore indéterminé ; mais nous aimerions pouvoir discuter des questions de traduction biblique
Nous étions une petite trentaine à nous retrouver, ce vendredi après-midi 4 avril, pour notre rencontre semestrielle, autour d’Alain Gignac, exégète de l’université de Montréal, professeur de NT et de théologie fondamentale (herméneutique) qui a publié récemment un commentaire sur l’Epître aux Romains (CBNT 6 ; Paris, Cerf 2014) [cf. http://www.editionsducerf.fr/html/fiche/fichelivre.asp?n_liv_cerf=9969].
Dans un premier temps, il a présenté sa méthodologie du commentaire d’un texte ample et difficile, à la bibliographie plus qu’abondante : Rm est comparable à un fleuve impétueux, pas vraiment tranquille, un peu comme le Saint-Laurent, avec des paysages discursifs très variés, des changements de rythme. Paul poétise, allant d’image en image, parfois avec des incohérences. Pas de logique cartésienne ou grecque, mais pensée des métaphores, avec une grande importance donnée au langage profance.
Alain Gignac s’est rendu attentif à l’énonciation, au jeu des pronoms pauliniens, mais aussi à la diatribe, en insistant sur les postures discursives et les personnifications. Il s’agit d’un commentaire théologique pour aujourd’hui (au contraire de celui de R. Jewett), avec une attention à la construction d’identité du chrétien, marqué par des indéterminations : au lecteur de choisir !
Romains est ainsi une lettre de désir, une lettre performative (qui réalise par son énonciation ce qu’elle énonce), marquée par une double parénèse : 6-8 et 12-15. Rm 7 est alors lu comme dialogue entre deux « je », ce qui fait sens, dans la ligne de la diatribe. Il ne s’agit pas tant d’identifier le « je » que de suivre le parcours. Rm 12-15 est section charnière.
Dans un deuxième temps, Alain Gignac a proposé une lecture « cubiste » de Rm 1, 18-4,25, « cubiste » en ce sens qu’elle cherche à déployer simultanément les diverses facettes des personnages présentés. C’est exprimer la pluridimensionnalité de l’homme, et a fortiori de Dieu, dont il demeure toujours une face non dévoilée. Dans ces 4 chapitres, on peut distinguer sept discours successifs sur la justice de Dieu, dont aucun n’est privilégié, mais qui se critiquent les uns les autres.
Un temps nourri de question a suivi ce bel exposé, permettant d’abord de mieux saisir les choix méthodologiques, et leurs implications théologiques, avant d’interroger tel ou tel point exégétique.
Après des nouvelles de l’avancement du congrès, et la présentation en exclusivité du tract du congrès, qui est à l’impression ces jours-ci, on a présenté des sites bibliques :
- http://biblehub.com/ permet l’accès à beaucoup d’outils, comme un interlinéaire grec ou hébreu, de nombreuses versions bibliques, des cartes, etc.
- http://biblemapper.com/, offre un programme de cartographie biblique dont la version 3 est gratuite et qui permet de créer des cartes de l’Orient Ancien et de la Méditerranée.
- Matthieu Richelle, bibliste évangélique vétérotestamentaire enseignant à Vaux-sur-Seine a son propre site (http://matthieurichelle.wix.com/site )
- et bien sûr, le portail de liens bibliques mis en place sur le site de l’ACFEB : http://www.netvibes.com/bible-portal#Accueil.
Dans le moment consacré à la pastorale biblique, divers membres du groupe régional ont pu rapporter leurs expériences, et les moyens employés. Si beaucoup utilisent principalement des documents de texte, avec le choix d’une traduction unique de la bible proposée aux participants, d’autres emploient aussi des ressources audio-visuelles. Des réseaux de groupes bibliques existent, avec le défi pour les animateurs de trouver un positionnement entre position d’enseignant doté d’un savoir à transmettre au groupe et position d’animateur à l’écoute de ce qui jaillit du groupe.
Alain Decorzant a évoqué l’Atelier Œcuménique de Théologie de Genève (http://www.aotge.ch ), qui existe depuis plus de 40 ans, dans un enracinement œcuménique fort et avec une attention aux temps d’appropriation, et Bruno de Gabory le parcours Mess’Aje (http://www.seuilsdelafoi.org/messaje ), qui emploie une pédagogie de montages audio-visuels, pour conduire les participants à travers divers « seuils de la foi ».
Jean-Pierre Sternberger, bibliste régional de l’EPUF (http://www.eglise-protestante-unie-car.org/ouvrir-bible/animer.html ), a rapporté son expérience de parcours proposés à des groupes bibliques dans l’ensemble de la région Rhône-Alpes, le thème de cette année étant sur la fraternité. Bertrand Pinçon, sur la paroisse de la Guillotière, a parlé des « groupes de la Parole », qui existent depuis une dizaine d’années pour permettre des rencontres en fraternité où vivre une expérience de foi autour de la bible. Les fiches d’animation sont sur le site de la paroisse de la Guillotière (http://www.paroisses-guillotiere.fr/spip.php?rubrique2 ). Michel Quesnel a parlé du sanctuaire Saint-Bonaventure (http://www.saintbonaventure-lyon.catholique.fr/ ), où cours et ateliers sont distingués, mais il n’y a pas d’inscription : vient qui veut. Parmi les propositions, les bibliques sont celles qui attirent le plus de monde. D’autres expériences pastorales, plus ou moins faciles, ont aussi été partagées.
Après notre congrès lyonnais (1er au 4 septembre), veuillez noter les dates de nos rencontres de l’an prochain: le vendredi 28 novembre 2014 et le vendredi 27 février 2015, de 14h à 18h, comme d’habitude à sur le campus Bellecour de l’Université Catholique de Lyon, dans sa dernière année de fonctionnement avant le grand déménagement vers la place Carnot à la rentrée 2015.
nous étions une vingtaine, réunis à l'Université Catholique de Lyon en provenance de toute la région Rhône-Alpes et de la Suisse. Nous avons eu le plaisir d’accueillir Jean-Marie Carrière sj (Centre Sèvres – Facultés jésuites de Paris) comme conférencier mais aussi comme nouveau membre du groupe régional, puisqu’il habite désormais à Saint-Etienne. Les doctorants et étudiants en master 2 d’exégèse de la faculté de théologie avaient été invités à participer à son intervention ; ils nous ont quitté après le temps d’échange qui a suivi l’intervention de Jean-Marie Carrière, intitulée « ‘Peuple de Dieu’ dans le Deutéronome ». Après quelques remarques préliminaires sur les différentes manières d’aborder cette thématique, alors que le syntagme est absent de Dt, Jean-Marie a développé son apport en trois temps. Ayant effectué un repérage de l’emploi des mots ‘am et goy dans le Dt, il s’est intéressé d’abord au corpus des lois, pour y lire les principes constituants de l’être peuple, puis aux discours, en repartant de la fin et en remontant vers le début du livre. En conclusion, si l’expression « Tout Israël » semble signifiante du peuple organisé, et que l’alliance est le concept fondamental de la relation entre le Seigneur et son peuple, ce qui s’accompagne du qualificatif de « peuple saint », on peut s’interroger sur l’extension à donner aux métaphores de l’acquisition (segullah) et du patrimoine personnel (nahalah), ainsi que sur la quasi absence du vocabulaire familial. Une riche discussion a suivi le bel apport de Jean-Marie
Après une pause, les membres actifs de l’ACFEB ont délibéré sur l’admission à ce statut de divers membres associés, en vue de l’assemblée générale du samedi 1er décembre 2012 à Paris. Nous avons pu ensuite échanger sur les nouveautés bibliographiques, par exemple le nouveau livre issu des travaux de Jean Delorme, Pour lire les Paraboles (LD 254 ; Paris, Cerf 2012), qui est dû à Jean-Yves Thériault, mais aussi le Nouveau Testament commenté dirigé par Camille Focant et Daniel Marguerat (Montrouge-Genève ; Bayard - Labor & Fides 2012), dans lequel Jacques Descreux a commenté l’Apocalypse, ainsi que The Jewish Annotated New Testament, dirigé par Amy-Jill Levine et Marc Zvi Brettler (Oxford ; University Press 2012). Nous avons aussi parlé du congrès de Lyon 2014, et de la nécessité de mettre en place un comité d’organisation qui prenne le relais du comité scientifique ; celui-ci a déjà un projet assez abouti, et tous les conférenciers pressentis ont déjà donné leur accord, mais il reste du travail, d’ici au 1er septembre 2014.
* Le vendredi 12 avril 2013, en poursuivant notre parcours de préparation au congrès 2014, nous étions près d’une trentaine à avoir eu le plaisir d’écouter et de dialoguer avec le père Maurice Gilbert sj, éminent professeur d’Ancien Testament à l’Institut Biblique Pontifical de Rome comme à l’Ecole Biblique de Jérusalem. Plusieurs d’entre nous avons eu la chance de suivre ses enseignements, en particulier sur le livre de la Sagesse de Salomon. Professeur émérite, il réside maintenant à Luxembourg et se consacre à l’écriture.
Le thème de son intervention était « le peuple de Dieu dans le livre de la Sagesse ». Le dernier verset du livre de la Sagesse est : « en tout, Seigneur, tu as exalté et glorifié ton peuple, tu n'as pas manqué de l'assister à tout moment et en tout lieu »(Sg 19,22). Cette action de grâce conclusive affirme que ce n’est pas seulement au temps de l’Exode que Dieu a exalté et glorifié « son peuple », mais bien « à tout moment et en tout lieu », ce qui indique la dimension actualisante du thème développé.
Comme on le sait, le livre de la Sagesse se compose de trois parties : la première est plus eschatologique (1-6), la deuxième développe la figure de Salomon (7-9) tandis que la troisième médite sur les merveilles de l’Exode (10-19).
Pour Maurice Gilbert, des éléments textuels, comme l’emploi du substantif kratesis, permettent de dater le livre à l’époque de l’empereur Auguste. Il aurait été rédigé à Alexandrie. Dans le débat qui a suivi, Paul Carbonaro, auteur d’une thèse soutenue en 2009 à Leuven sur « Le roi et la loi dans la Lettre d'Aristée à Philocrate » , a exposé les raisons qui l’amèneraient plutôt à dater ce livre un siècle plus tôt, au temps des Lagides, sous les règnes de Ptolémée VIII et Ptolémée IX, avec la présence d’une souveraine parèdre, Cléopâtre II. Le professeur Gilbert est resté sur sa position. A cette époque, le peuple est dispersé, avec une partie en terre d’Israël et une vaste diaspora, notamment à Alexandrie ; peu de mention de la terre sainte, sauf en Sg 12,3 & 7. Celle-ci est alors sous domination politique romaine. C’est donc un défi de parler du « peuple de Dieu » dans ces conditions.
La première partie du livre se concentre sur l’eschatologie, en relisant les récits de la création en Gn 1-2. L’homme est créé pour l’aphtarsia, l’incorruptibilité et il est image de ce que Dieu a en propre (Sg 2,23). Au centre de ces chapitres, l’auteur renouvelle le sens de la bénédiction, en proclamant heureux les stériles et ceux qui meurent jeunes. La promesse de la vie éternelle est ici plus pour des individus fidèles que pour le peuple, ce mot n’étant employé dans ces premiers chapitres qu’au pluriel.
La deuxième partie du livre déploie une figure du gouvernant qui n’est pas divinisée, au contraire des souverains égyptiens ou romains, mais partageant l’humaine condition ; on pourrait parler d’une « démocratisation du pouvoir ». Cette partie relit le songe de Gabaon (1 R 3) et la demande faite par Salomon de la sagesse « pour gouverner ce peuple si grand » (Sg 9,7.12 ; cf. 1 R 3,9). Aucune mention n’est faite ici des erreurs du Salomon historique. D’ailleurs le livre de la Sagesse est fameux pour son absence de noms propres : que le lecteur comprenne ! Le chapitre 9 encadre la vocation propre de Salomon : gouverner le peuple et bâtir le Temple (9,7-12) par deux textes qui rappellent la vocation de tout homme d’accueillir la Sagesse (9,1-6 ; 9,13-18).
La dernière partie du livre est une « anamnèse hymnique » des événements de l’Exode. Cette prière, qui continue celle du chapitre 9, est adressée à Dieu, loué pour sa miséricorde. Par sept fois apparaît l’expression « ton peuple », avec le mot laos, mais aussi deux fois ethnos (17,2 et 19,8). Sept plaies d’Egypte sont mentionnées, et sept merveilles pour l’Exode. On n’a pas que les « 10 plaies ». On va de l’eau (1ère plaie, le Nil) à l’eau (7ème plaie, la Mer rouge) ; la 4ème plaie est eau diluvienne et feu, opposée à la manne. Le chapitre 10 va d’Adam au déluge (10,1-4), puis d’Abraham à Joseph (10,5-14), avant d’exposer la sortie d’Egypte, et la louange au bord de la mer après l’engloutissement des ennemis, louange du « peuple saint » (10,15), composé des « justes » (10,20). Il fallait arriver à Joseph et ses frères pour parler du peuple.
La thématique de la sagesse, très présente au ch. 10, est curieusement absente des chapitres 11 à 18. Peut-être faut-il y voir une reprise et un développement des thèmes des ch. 10 et 19. Dans ce long développement, qui oppose les souffrances des adversaires du peuple aux bienfaits reçus par celui-ci dans sa marche au désert, signalons deux textes : « En agissant ainsi tu as appris à ton peuple que le juste doit être ami des hommes et tu as rempli tes fils d'espérance puisque tu offres le repentir pour les péchés. »(Sg 12,19) et « Par là, tes fils que tu as aimés, Seigneur, devaient apprendre que ce n'est pas la production de fruits qui nourrit l'homme, mais bien ta parole qui fait subsister ceux qui croient en toi »(Sg 16,26). L’enjeu de la relecture hymnique, c’est une actualisation pour les destinataires du livre : « En effet, ce qui te servit à punir les adversaires devint pour nous un titre de gloire, car tu nous appelais vers toi »(Sg 18,8). Ici l’emploi de la première personne du pluriel est signifiant : ce n’est pas « nos pères » que Dieu a glorifiés ou appelés, mais nous-mêmes.
Ainsi le livre de la Sagesse, à travers l’espérance eschatologique, les traditions interprétatives d’Israël (midrash) et l’actualisation des merveilles de l’Exode, permet à ses destinataires fidèles à l’alliance et à la sagesse de Dieu, de se comprendre comme « son peuple ».
Après l’exposé du p. Gilbert, diverses questions ont été posées par les membres présents du groupe régional, notamment sur ce qui constituait la sainteté de ce peuple ou ce qui en faisait l’identité.
Dans une deuxième partie de l’après-midi, des nouveautés éditoriales ont été présentées. Une nouvelle collection est lancée par les éditions Nouvelle Cité : Ce que dit la bible sur … dont les deux premiers volumes sont dus à deux membres de notre groupe régional : Pierre de Martin de Viviès pour Anges et démons et Nicole Fabre pour La femme. La directrice de la collection, Bénédicte Draillard, était avec nous pour présenter ces deux livres.
Les éditions de la faculté de théologie de Lyon, Profac-théo, ont fait paraître un livre de notre collègue Loïc Berge, Autorité et liberté dans les lettres de Paul de Tarse, qui reprend son mémoire de maîtrise. L’ouvrage d’Olivier Robin, Appel et désir. A partir d'une lecture sémiotique de Mc 10,13-16 a aussi été présenté.
Philippe Abadie a attiré notre attention sur le Guide pour l’exégèse de l’Ancien Testament de Matthieu Richelle, enseignant évangélique de la faculté de théologie de Vaux-sur-Seine, mais aussi sur La Bible, patrimoine de l’humanité, ouvrage qui reprend des éléments d’une belle exposition itinérante sur la Bible.
Du côté des sites internet, outre celui de l’ACFEB (http://acfeb.free.fr ), on a signalé le nouveau site du service Evangile et Vie, éditeur des Cahiers Evangile (http://www.bible-service.net/extranet/current/pages/ ), ainsi que celui de la revue Le monde de la Bible (http://www.mondedelabible.com/ ). Sur le site du collège de France, on peut retrouver les cours donnés par Thomas Römer, avec fichiers audio, vidéo et documents auxiliaires (http://www.college-de-france.fr/site/thomas-romer/ ).
La fin de l'après-midi a été consacrée à la préparation du congrès 2014.
Nous étions une bonne vingtaine à nous retrouver, ce vendredi après-midi 8 novembre, pour notre rencontre semestrielle. Anne Pénicaud nous a permis de travailler ensemble le texte de Luc 10,38-42 (Marthe & Marie), à l’aide d’une lecture « en relief » du texte, théorisée puis appliquée. C’est là une des deux manières dont les nombreux groupes (plus de 40) que le Cadir anime en région lyonnaise emploie pour la lecture sémiotique des textes bibliques. Comme il fallait s’y attendre entre biblistes, les questions n’ont pas manqué, tant sur la méthode que sur la traduction proposée ; mais surtout l’acte de lecture en groupe a permis de voir surgir des figures de Marie comme de Marthe très intéressantes, dans leur difficile rapport de fraternité, en présence du Maître. Après plus d’une heure et demie, nous avons eu du mal à nous arrêter pour faire une nécessaire pause. Au retour de la pause, Michel Quesnel a donné des nouvelles de la traduction liturgique de la Bible, dont il a pu relire les traductions des épîtres pauliniennes ; nous aurons moins l’occasion de protester contre certaines tournures, nous a-t-il assuré. Cette traduction passera dans les lectionnaires et dans le missel selon un échéancier qui n’est pas encore annoncé. D'autre part, Jean Massonnet nous a présenté en détail son dernier livre, paru chez Lessius au printemps dernier : Aux sources du christianisme. La notion pharisienne de révélation , en lisant de nombreux textes rabbiniques manifestant la place du peuple comme inspiré par l’Esprit pour le discernement de la Halakhah.
La prochaine rencontre est fixée au vendredi 4 avril 2014, de 14h à 18h, comme d’habitude à l’Université Catholique de Lyon, mais cette fois-ci en salle Thévenet, un étage au-dessus de la salle Saint-Irénée.
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